Gaspé
Réveil. On ouvre la tente, vue sur la cascade. On a dormi sur des cailloux, mais on ne les a pas senti. Le matos est bon. Nous sommes seuls, c'est seulement lorsqu'on quitte le site que quelques familles arrivent.
Il nous marcher 5km pour rejoindre la route, et on profite de se moment pour se baigner dans la rivière.
Retour sur la 132. On attend sur un pont. Finalement, une fille nous dépose un peu plus loin. C'est une hôtesse de l'air en burn out qui se ressource dans une belle maison proche de la mer. A la halte municipale où elle s'arrête, il y a une entrée de la mer dans les terres, un pont pour faire passer la veille ligne ferroviaire. On attend beaucoup quand on reprend le pouce, si bien que je prends plusieurs vues sur le pont, par tout temps. Quand il pleut, on se réfugie sous un pont. Après une heure d'attente, on invente des jeux pour nous occuper : jeter des cailloux sur une cible, jouer à l'équilibriste, jouer de l'armonica... Après une heure et trente minutes, je pars m'allonger sur le banc d'une table de pique-nique. J'en ai un peu marre. C'est à ce moment qu'Elouan arrête une voiture. Je suis certain qu'elle ne s'arrête que pour le point de vue, mais non, c'est pour nous !
On voit tout de suite que nos sauveurs ont l'habitude de prendre des pouceux. L'homme sort de la voiture immédiatement et ouvre le coffre (valise en québecois). Ils s'en vont chez eux, à Gaspé. C'est cool, ça fait un bout de chemin. Ce sont des retraités qui voyagent beaucoup à travers le monde. Nous leur expliquons notre voyage. Sur la route, ils nous proposent de venir dormir chez eux. Ils ont une cave avec deux lits. Comme avant-hier, on hésite un peu : il est encore tôt et on pourrait avancer jusqu'au parc Forillon. Mais on se laisse tenter.
A Gaspé, on pose nos affaires dans la cave et on part se promener. La ville n'est pas très grande, mais comme c'est la plus peuplée de Gaspésie, on y trouve toute sorte de fast-food, un centre commercial Jacques Cartier (plutôt vide) où l'on mange une poutine. Sur des panneaux informatifs, on apprend que les français se sont pris des raclées par les anglais dans cette zone. En marchant vers la cathédrale, une voiture nous klaxonnent : c'est Camille et Laurent qui nous ont conduit la veille. La cathédrale en bois et très belle, notamment un vitrail.
Le soir, Diane et Patrice nous invitent à manger avec eux, de la morue. On prend l'apéro d'abord et on parle comme si on avait retrouvé des grands parents outre atlantique. Ce sont des descendants d'acadiens. Diane était enseignante dans le primaire, Patrice était directeur du CEGEP de Gaspé. On se rend compte qu'ils connaissent la cousine de Matthieu, que l'on a rencontrée au party à Carleton. On l'a déja dit, tout le monde se connait ici. Le poisson est délicieux. On part se coucher tôt.
Il nous marcher 5km pour rejoindre la route, et on profite de se moment pour se baigner dans la rivière.
Baignade
Retour sur la 132. On attend sur un pont. Finalement, une fille nous dépose un peu plus loin. C'est une hôtesse de l'air en burn out qui se ressource dans une belle maison proche de la mer. A la halte municipale où elle s'arrête, il y a une entrée de la mer dans les terres, un pont pour faire passer la veille ligne ferroviaire. On attend beaucoup quand on reprend le pouce, si bien que je prends plusieurs vues sur le pont, par tout temps. Quand il pleut, on se réfugie sous un pont. Après une heure d'attente, on invente des jeux pour nous occuper : jeter des cailloux sur une cible, jouer à l'équilibriste, jouer de l'armonica... Après une heure et trente minutes, je pars m'allonger sur le banc d'une table de pique-nique. J'en ai un peu marre. C'est à ce moment qu'Elouan arrête une voiture. Je suis certain qu'elle ne s'arrête que pour le point de vue, mais non, c'est pour nous !
Différentes vues sur le pont
A Gaspé, on pose nos affaires dans la cave et on part se promener. La ville n'est pas très grande, mais comme c'est la plus peuplée de Gaspésie, on y trouve toute sorte de fast-food, un centre commercial Jacques Cartier (plutôt vide) où l'on mange une poutine. Sur des panneaux informatifs, on apprend que les français se sont pris des raclées par les anglais dans cette zone. En marchant vers la cathédrale, une voiture nous klaxonnent : c'est Camille et Laurent qui nous ont conduit la veille. La cathédrale en bois et très belle, notamment un vitrail.
Le vitrail
Le soir, Diane et Patrice nous invitent à manger avec eux, de la morue. On prend l'apéro d'abord et on parle comme si on avait retrouvé des grands parents outre atlantique. Ce sont des descendants d'acadiens. Diane était enseignante dans le primaire, Patrice était directeur du CEGEP de Gaspé. On se rend compte qu'ils connaissent la cousine de Matthieu, que l'on a rencontrée au party à Carleton. On l'a déja dit, tout le monde se connait ici. Le poisson est délicieux. On part se coucher tôt.
Le repas est délicieux, l'accueil chaleureux






Pour info ton blog est publié en version papier à Pepe max
RépondreSupprimerEt il compte sur la suite..... et nous aussi : on voyage avec vous ! bonnes rencontres ! Bises
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